Des hauts et débats - Master Industries Culturelles - Université Paris 8

En 2002, les Français placent au second tour de la présidentielle un candidat d’extrême droite pour la première fois depuis le début de la Vème République. La gauche menée par Lionel Jospin est effacée, et le président sortant, Jacques Chirac, refuse le débat d’entre deux tours avec Jean Marie Le Pen, cette habitude pourtant devenue une véritable coutume républicaine. Pour la première fois depuis 1974, le débat d’entre deux tours se fera par joutes interposées et non via une discussion réelle discussion télévisuelle. Le président sortant affiche ce refus de débattre en exprimant son désaccord vis-à-vis de l’idéologie du Front National qui repose selon lui sur la haine et l’intolérance. Or, en 2024, les idées réactionnaires de l’extrême droite n’ont jamais été aussi présentes que sur les plateaux télévisuels. Avec des chaînes spécialisées comme CNews, récemment condamnée par le CSA (aujourd’hui Arcom) pour “non-respect du pluralisme politique” – qui décomptait que 35% des invités politiques de la chaîne d’information était placé à l’extrême droite sur l’échiquier politique selon Libération (1). De ce fait, on constate que l’extrême droite n’a jamais fait d’aussi bons scores dans les urnes qu’aujourd’hui. Plusieurs idées s’opposent quant à aller débattre ou non avec l’extrême droite, que se soit sur leur chaînes ou simplement avec eux. Certaines personnalités politiques pensent qu’il ne faut absolument pas se confronter à l’extrême droite dans la mesure où cela reviendrait à les considérer comme un parti “normal”, tandis que d’autres considèrent que la discussion avec les dirigeants et les électeurs du RN ne doit absolument pas être négligée. C’est la vision d’Hugo Clément, journaliste écologiste et militant pour la cause animale, qui a participé au “Grand Débat des Valeurs” organisé par Valeurs Actuelles, où il a débattu avec Jordan Bardella autour de la question de l’écologie. 

En allant débattre chez Valeurs Actuelles, Hugo Clément savait pertinemment que les enjeux seraient nombreux. En effet, il serait nécessaire pour lui de redoubler d’efforts compte tenu du fait qu’il serait le seul opposant aux idéologies de Valeurs Actuelles, à Jordan Bardella, et au public dudit journal. Alors, débattre sur un terrain qui n’est pas neutre est-il dangereux pour les différents partis ? L’enjeu est donc de constater et d’analyser s’il est intéressant de débattre avec l’extrême droite ou si cette pratique se révèle dangereuse par l’exposition qu’elle donne aux idées et aux valeurs de ce courant de pensée. Nous nous appuierons donc sur la vidéo du “Grand Débat des Valeurs” publiée sur Youtube, afin d’analyser l’évolution de la vision de l’extrême droite dans les médias et par les personnalités politiques venant de bords plus “traditionnels”. En premier lieu, dans un débat, qu’il soit politique ou non, la manière dont il est articulé, organisé, puis mis en lumière, c’est-à-dire capté et médiatisé, joue un rôle dans la réception qu’en font ses publics. De plus, débattre sur le terrain opposé peut à la fois placer l’invité en incapacité de défense, mais surtout offrir aux opposants un terrain de parole profitable à leurs idéologies.

Le non débat : entre journal et contrôle de la réception par la médiatisation

Tout d’abord, il est intéressant de s’interroger sur les conditions de ce débat. Cette “discussion”, organisée par le journal Valeurs Actuelles, a tout d’une émission plutôt qu’un débat. En effet, les débats politiques ne peuvent en général prendre place dans des endroits orientés politiquement, cette orientation mettant en contradiction l’idée même du débat, qui a pour objectif de laisser la parole à deux opposants, dans un cadre neutre, afin que seuls leurs échanges fassent évoluer les opinions. Or, ce débat étant organisé par un journal, qui plus est un hebdomadaire d’extrême droite, par conséquent tout sauf neutre, et animé par un journaliste de ce journal, la notion du débat en perd son sens. Ainsi, l’animateur, – si l’on peut ainsi le nommer, c’est parce qu’il participe plus à animer le débat et orienter les questions, plutôt que simplement répartir la parole – pose des questions qui ont été faites selon un angle, un point de vue précis, des idées politiques claires et orientées, et non de la façon la plus neutre possible. Le débat commence par cette phrase : «Jordan Bardella vous allez faire des déçus dans la salle, puisqu’ils vont découvrir ce soir que vous êtes écolo »1. L’animateur laisse dès le départ une opportunité à Jordan Bardella de se mettre en valeur et légitimise par avance son discours sur l’écologie. Le débat est ici un espace promotionnel pour Jordan Bardella, avec Hugo Clément comme opposition symbolique. L’animateur oriente le débat dès les premiers échanges en favorisant un discours généraliste incarné par l’extrême droite tandis que les questions posées à Hugo Clément portent sur les méthodes et moyens de défendre son combat, avec de forts sous-entendus sur l’excessivité des moyens employés, poussant ce dernier à se placer en position de défense, en plus de le diaboliser, lui et les écologistes : « Hugo Clément la question elle est simple : vous pratiquez un journalisme engagé, vous faites des enquêtes qui font évidemment pas toujours plaisir […] appellent à la désobéissance civile aussi : il y a un climat de l’écologie dans le débat public aujourd’hui, comment porter vos combats sans tomber dans la moralisation, sans tomber dans le bashing comme dit Jordan Bardella ? »2. Alors que Hugo Clément aborde l’urgence climatique et l’importance de la biodiversité, l’animateur avantage une nouvelle fois Jordan Bardella en l’amenant sur un terrain plus confortable et tourne sa question sur l’écologie autour d’une approche plus idéologique, ce qui favorise le discours du candidat RN et crée un décalage thématique avec les enjeux concrets soulevés par Hugo Clément. L’animateur reprend des termes employés par Jordan Bardella, tels que “catastrophisme” et “bashing”, pour interroger Hugo Clément, mais la dynamique reste unidirectionnelle, sans véritable échange. D’une manière générale, Hugo Clément est dévalorisé non seulement dans la manière dont l’animateur s’adresse à lui mais également dans le cadrage des questions qui lui sont posées. De plus, le journaliste se fait très régulièrement couper la parole par l’animateur concernant Jordan Bardella. Ce dernier bénéficie également d’un avantage rhétorique, puisqu’il ouvre et clôture le débat à la demande de l’animateur. La fin de l’échange témoigne d’ailleurs particulièrement d’une forme de décrédibilisation supplémentaire envers Hugo Clément : l’animateur demande à Jordan Bardella de conclure le débat d’une manière plus « constructive et audible », ce qui lui laisse le dernier mot et montre la volonté de cadrer le débat selon ses opinions, qui seraient plus accessibles et compréhensibles, tandis que Hugo Clément doit négocier pour pouvoir conclure de son côté également, avec un temps de parole encore une fois amoindri, de 50 secondes insistées face aux 2 minutes offertes à Jordan Bardella. 

De plus, au-delà des choix des thèmes et des questions, c’est la manière dont est articulé ce débat qui nous amène à nous questionner sur le caractère biaisé de ce dernier. En effet, cet échange est présenté comme un débat auprès des auditeurs et des personnalités politiques. Si on reprend la définition de J. Dolz, le débat se définit comme “une discussion sur une question controversée entre plusieurs partenaires qui expriment leurs opinions ou attitudes, essaient de modifier celles des autres, les leurs, en vue, idéalement de construire une réponse commune à la question initiale”. Ici, nous sommes dans un débat régulé puisqu’il y a la présence d’un “modérateur” (que nous désignons ici par le terme “animateur”) qui « structure le déroulement de la situation, en mettant en évidence la position des différents débatteurs, en leur facilitant les échanges, et dans certains cas en essayant d’arbitrer les conflits pour peut-être concilier les positions opposées »3 (J. Dolz & B. Schneuwly, 1998, p. 166). D’une manière générale, un débat stipule des échanges équilibrés entre les parties, une confrontation directe et un rôle neutre de l’animateur, ce qui n’est pas le cas ici. En effet, l’échange se déroule de la manière suivante : l’animateur pose une question à Jordan Bardella, ce dernier répond, et Hugo Clément, en face, tente de répondre à ses propos. Dès que Hugo Clément tente de répondre à Jordan Bardella, l’animateur y coupe court, expliquant qu’il doit se contenter de répondre aux questions, et non aux réponses de son opposant. L’animateur fait de même lorsque c’est Jordan Bardella qui tente de répondre à Hugo Clément. Ainsi, chaque fois qu’un véritable échange pourrait se produire entre les deux opposants, permettant une évolution des idées et des arguments (comme c’est normalement le cas dans un débat), la réalisation de cet objectif initial est systématiquement entravée.

Finalement, la forme du “Grand Débat des valeurs” ainsi que la manière dont ce dernier est médiatisé jouent également un rôle important dans la structuration des idées et la réception que l’on peut en faire. En effet, les moyens de captation audiovisuelle mis en oeuvre afin de retranscrire ce débat à l’image orientent la vision de l’auditeur, et par conséquent son interprétation des différents opposants. Nous pouvons alors remarquer de nombreux plans et prises de vues, revenant à plusieurs reprises dans le débat, mettant plus ou moins en lumière certains points de vue. Par exemple, tous les plans larges de la salle sont pris d’un angle de vue venant de la gauche de la salle, faisant de Jordan Bardella la première personne que l’on voit à l’écran, plaçant Hugo Clément en opposition et plus en arrière plan, au loin. A l’inverse, lorsque la parole est à Hugo Clément, il y a, parmi quelques plans fixes sur lui, principalement des plans larges de la salle et du public, plans où on ne le voit parfois pas lorsqu’il parle. Jordan Bardella, lui, est presque au centre de tous les plans, que ce soit lorsqu’il parle ou non, de près ou de loin. Il y a pourtant bien une caméra à droite de la salle, puisque c’est cette dernière qui effectue les gros plans de Jordan Bardella, de l’animateur; de potentiels plans larges de la salle plaçant Hugo Clément au premier plan et Jordan Bardella en oppositions sont donc possibles, mais rarement exploités. Ainsi, la médiatisation du débat, par ses moyens de captations et ses différents angles de prises de vue, semble favoriser Jordan Bardella, le plaçant souvent au premier plan, invisibilisant l’image de Hugo Clément, et par conséquent octroyant moins de pouvoir d’impact à sa parole. Aller débattre sur un terrain qui n’est pas neutre peut alors augmenter les chances de ne pas, ou peu être mis en lumière, notamment lorsque la médiatisation implique une liberté pour le média concerné dans la manière dont les images et paroles sont retranscrites. C’est là tout l’enjeu des débats publics, en particulier à l’ère d’internet, comme l’explique notamment Maud Vincent dans son article « La dégradation du débat public : le forum de l’émission « On ne peut pas plaire à tout le monde »”. En effet, l’autrice démontre comment les débats publics peuvent influencer, voire endommager la pensée collective, notamment à travers les moyens de communication numériques favorisant des confrontations polarisées, l’expression de points de vue simplistes, extrêmes. Le Grand Débat des Valeurs illustre très bien ces transformations du débat public à l’ère d’internet, et en particulier de la médiatisation de ce dernier.

Entre récupération, réappropriation et dédiabolisation de l’extrême droite : le coup raté de Hugo Clément 

L’argumentaire de Hugo Clément en allant débattre avec Jordan Bardella chez Valeurs Actuelles est d’expliquer qu’il ne faut jamais refuser de parler d’écologie, où que ce soit, et avec qui que ce soit. Aujourd’hui, l’électorat Rassemblement National (RN) représente 10 millions de voix aux dernières législatives, faisant de ce parti le premier de France en termes de voix aux élections. Le journaliste énonce que si l’on ne débat pas, il n’y a pas de possibilité de faire évoluer la cause écologiste, et par conséquent de propager les idées et les valeurs progressistes. Ici, il explique que les phénomènes climatiques touchent tout le monde, que l’on vote Marine Le Pen, Jean-Luc Mélenchon ou encore Emmanuel Macron. Par ailleurs, les classes populaires vont être les premières touchées par le changement climatique et il se trouve qu’elles constituent une majorité de l’électorat RN. Pour Hugo Clément, tout le spectre politique doit se focaliser sur une seule cause commune : l’écologie. Sa volonté est d’atteindre les personnes qui ne seraient pas forcément sensibilisées aux problématiques climatiques et de faire prendre conscience aux partis d’extrême droite que même leurs électeurs attendent des mesures écologistes au sein du programme du RN. 

Plusieurs problématiques sont à démontrer quant à l’initiative de Hugo Clément. Tout d’abord, pour le RN, le fait de s’intéresser aux problèmes écologiques, s’inscrit dans la pratique de dédiabolisation du parti entreprise par Marine Le Pen après l’échec à la présidentielle de 2012. Cette volonté d’adoucir le discours d’un parti aux racines xénophobes, racistes et antisémites, passe aujourd’hui par un intérêt aux questions sur le changement climatique qui deviennent difficilement contestables. Paloma Moritz, journaliste spécialisée sur les questions écologistes chez Blast, parle de “greenwashing” et de “caution écologiste” (2) que Hugo Clément offre sur un plateau d’argent à Jordan Bardella, lui permettant de montrer que le RN n’est plus indifférent aux questions écologiques et que son mouvement s’inscrit dans la marche de l’Histoire. 

A cet égard, Hugo Clément participe au déplacement de la fenêtre d’Overton (3). En montrant le RN sous l’angle d’un parti inscrit dans la société qui s’intéresse aux questions écologiques, les autres idées conservatrices, racistes et nationalistes sont considérées comme acceptables. Aujourd’hui, avec la concentration des médias par des idéologues comme Vincent Bolloré voulant imposer leurs visions au sein du débat public, on constate que le débat se centralise sur des questions radicales et que ce qui était considéré comme inacceptable il y a dix ans, devient aujourd’hui source de débat, voire acceptable. En allant débattre chez Valeurs Actuelles avec Jordan Bardella, Hugo Clément participe à l’acceptation de la presse nationaliste d’extrême droite condamnée pour injure raciale par la Cour de Cassation en janvier 2020 (4) – et par ailleurs, à l’acceptation du RN qui compte parmis ses élus bon nombre de condamnés ou ayant eu des actes considérés comme raciste, comme le montre l’affaire des “brebis galeuses” lors des dernières législatives (5). 

Lors du débat, on constate que Hugo Clément adapte son discours et donne des exemples qui parlent aux électeurs du RN. Il donne l’exemple de la priorité nationale en expliquant que des chalutiers hollandais viennent pêcher au sein des eaux françaises, parle du fait que le RN ne pourra pas mettre en place son projet identitaire si la civilisation n’existe plus, énonce les problèmes liés à l’élevage intensif qui appauvrit les agriculteurs, parle de l’immigration massive amenée par le changement climatique… Cette rhétorique est dangereuse : en effet par cette méthode, les arguments du RN deviennent légitimes et applicables à l’écologie, ils ne sont pas remis en question et même pire, ils sont en quelque sorte approuvés par un “écolo de gauche”. Hugo Clément pense que si le RN arrive au pouvoir, il faut que le parti soit un minimum renseigné et éduqué sur la cause climatique. Hugo Clément voit le problème sous un angle sinistre : il faut combattre les idées portées par le RN car si le parti de Marine Le Pen arrive au pouvoir, il ne s’occupera pas des questions pour réduire les inégalités sociales et économiques et bien sûr écologique. En effet, on peut le constater avec les nombreuses absences du parti sur des sujets qu’il affectionne tout particulièrement avec par exemple le rejet des amendements visant à reculer l’âge de la retraite proposé par la gauche – alors même que le RN s’était montré comme le fer de lance du parti contre cette réforme ; avec l’abstention en 2024 pour l’instauration de prix plancher pour les produits agricoles ; ou encore en s’opposant à la lutte contre l’artificialisation des sols (6).

Le parti est un parti populiste qui ne s’approprie certaines questions que par intention électorale. L’ADN propre à l’idéologie du RN rentre en contradiction pour être en accord avec les questions environnementales. Le syndicaliste brésilien Chico Mendes exprimait : “L’écologie sans lutte des classes, c’est du jardinage” (7). Les seuls projets idéologiques cohérents avec les questions environnementales sont les projets de gauche. On ne peut pas vouloir une écologie sans contrainte comme l’explique Jordan Bardella, il n’est pas possible de penser l’écologie en termes de préférence nationale ni en favorisant les français les plus riches, mêmes personnes qui par leur capital élevé, continuent d’être les plus gros pollueurs sur terre. 

En débattant avec Jordan Bardella sur le terrain de Valeurs Actuelles, Hugo Clément espérait défendre l’écologie face à un électorat éloigné de ces enjeux. Pourtant, ce face-à-face illustre les risques majeurs d’une telle initiative : offrir une tribune à l’extrême droite, légitimer ses discours et renforcer sa stratégie de dédiabolisation. Quand le cadre du débat est biaisé, les échanges cessent d’être une confrontation d’idées pour devenir une vitrine idéologique. Alors, la lutte pour convaincre devrait-elle demeurer telle qu’elle, si le prix à payer est de valider l’inacceptable ? 

SOURCES 

(1) Data Matin 36% des invités politiques de CNews sont d’extrême droite, Libération, Alice Clair, Julien Guillot, Savinien de Rivet, 2021 https://www.liberation.fr/economie/medias/36-des-invites-politiques-de-cnews-sont-dextreme-droite-20210614_TP4X4N2KC5AHHHR7AH3ULWI6WU/ 

(2) Peut-on débattre d’écologie avec l’extrême droite, C Ce Soir, Youtube, 2023 https://www.youtube.com/watch?v=Uw_RkZTrWEg&ab_channel=CCeSoir-FranceT%C3%A9l%C3%A9visions 

(3) La fenêtre d’Overton ou le champ de l’acceptable en politique, Le Monde, Marion Dupont, 2022 https://www.lemonde.fr/idees/article/2022/02/16/la-fenetre-d-overton-ou-le-champ-de-l-acceptable-en-politique_6113836_3232.html 

(4) “Valeurs Actuelles” définitivement condamné pour injure raciste contre Daniele Obono, Libération, Tristan Berteloot, 2024 https://www.liberation.fr/politique/valeurs-actuelles-definitivement-condamne-pour-injure-raciste-contre-daniele-obono-20240117_OYUWGZCMOJEGHO6F7U3IWL4LXQ/ 

(5) Législative : racisme, condamnation, antisémites… Ces candidats RN qui posent question, Ouest France, Paul Gratian, 2024 https://www.ouest-france.fr/elections/legislatives/legislatives-racisme-condamnations-antisemitisme-ces-candidats-rn-qui-posent-question-7f0ffa80-3908-11ef-9f2b-c38da737f062 

(6) Quand le RN fait la loi quel bilan après deux ans à l’assemblée nationale, Vert, Anne-Claire Poirier, 2024 https://vert.eco/articles/quand-le-rn-fait-la-loi-quel-bilan-apres-deux-ans-a-lassemblee-nationale 

(7) “L’écologie sans lutte des classes c’est du jardinage”, Philomag, octave Larmagnac-Mathéron, 2022 https://www.philomag.com/articles/lecologie-sans-lutte-des-classes-cest-du-jardinage 

“Jordan Bardella VS Hugo Clément – Grand Débat des Valeurs”, Charlotte D’Ornellas, Youtube, 30 avril 2023

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  1. “Jordan Bardella VS Hugo Clément – Grand Débat des Valeurs”, Charlotte D’Ornellas, Youtube, 30 avril 2023  ↩︎
  2. “Jordan Bardella VS Hugo Clément – Grand Débat des Valeurs”, Charlotte D’Ornellas, Youtube, 30 avril 2023  ↩︎
  3. DOLZ, Joaquim, REY, Nathalie, SURIAN, Marc, “Le débat : un dialogue avec la pensée de l’autre”, Le français aujourd’hui, 2004/3 n° 146, p.5-15.  ↩︎
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